Cancer de l’ovaire : Avastin réduit le risque de progression de près de 30%
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Cancer de l’ovaire : Avastin réduit le risque de progression de près de 30%
Cancer de l’ovaire : Avastin réduit le risque de progression de près de 30%
Monde - Selon une étude menée sur 1.873 femmes, l’administration d’Avastin en plus d’un traitement par chimiothérapie permet de réduire de 28% le risque de progression du cancer de l'ovaire.
Le cancer de l’ovaire est l’un des cancers les plus agressifs chez la femme, lorsqu’il n’est pas découvert assez tôt. Il touche 230.000 femmes par an dans le monde et 140.000 en meurent.
L’Avastin permet d’empêcher la tumeur de développer des vaisseaux sanguins nourriciers et ainsi, de ralentir sa croissance. Combiné à la chimiothérapie, ce médicament permet de réduire de 28% le risque de progression du cancer de l’ovaire. Il est initialement utilisé dans le traitement de certains cancers métastatiques tels que le cancer du colon, du sein, du rein, du cerveau et du poumon.
L’étude a été menée sur 1.873 femmes victimes d’un cancer de l’ovaire, péritonéal et des tubes fallopiens en stade 3 ou 4 et qui avaient subi une ablation de la tumeur Elles ont été divisées en trois groupes : certaines ont été traitées avec une chimiothérapie standard ainsi qu’un placebo, le deuxième groupe avec la même chimio couplée à de l’Avastin et les autres, avec une chimio, de l’Avastin ainsi qu’un suivi de 10 mois avec de l’Avastin.
Les résultats sont encourageants : les femmes n’ayant bénéficié que d’une chimiothérapie ont eu une survie de 10 mois, tandis que celles ayant bénéficié de l’Avastin ont vécu 4 mois de plus.
Monde - Selon une étude menée sur 1.873 femmes, l’administration d’Avastin en plus d’un traitement par chimiothérapie permet de réduire de 28% le risque de progression du cancer de l'ovaire.
Le cancer de l’ovaire est l’un des cancers les plus agressifs chez la femme, lorsqu’il n’est pas découvert assez tôt. Il touche 230.000 femmes par an dans le monde et 140.000 en meurent.
L’Avastin permet d’empêcher la tumeur de développer des vaisseaux sanguins nourriciers et ainsi, de ralentir sa croissance. Combiné à la chimiothérapie, ce médicament permet de réduire de 28% le risque de progression du cancer de l’ovaire. Il est initialement utilisé dans le traitement de certains cancers métastatiques tels que le cancer du colon, du sein, du rein, du cerveau et du poumon.
L’étude a été menée sur 1.873 femmes victimes d’un cancer de l’ovaire, péritonéal et des tubes fallopiens en stade 3 ou 4 et qui avaient subi une ablation de la tumeur Elles ont été divisées en trois groupes : certaines ont été traitées avec une chimiothérapie standard ainsi qu’un placebo, le deuxième groupe avec la même chimio couplée à de l’Avastin et les autres, avec une chimio, de l’Avastin ainsi qu’un suivi de 10 mois avec de l’Avastin.
Les résultats sont encourageants : les femmes n’ayant bénéficié que d’une chimiothérapie ont eu une survie de 10 mois, tandis que celles ayant bénéficié de l’Avastin ont vécu 4 mois de plus.
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